La douane intervient : 268 ouvriers du bâtiment contrôlés pour travail illégal !

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Grande inspection à Butzbach : contrôle de 268 ouvriers du bâtiment, arrestations pour travail illégal et violation du salaire minimum.

Großkontrolle in Butzbach: 268 Bauarbeiter überprüft, Festnahmen wegen Schwarzarbeit und Verstöße gegen den Mindestlohn.
Grande inspection à Butzbach : contrôle de 268 ouvriers du bâtiment, arrestations pour travail illégal et violation du salaire minimum.

La douane intervient : 268 ouvriers du bâtiment contrôlés pour travail illégal !

Une inspection à grande échelle sur des chantiers de construction dans le nord, l'est et le centre de la Hesse a récemment occupé les enquêteurs du travail au noir au bureau principal des douanes de Giessen. Plus de 100 enquêteurs étaient en poste mardi pour vérifier le respect des réglementations du travail et sociales. Cette mesure fait partie d'une campagne nationale menée par le Contrôle financier du travail non déclaré (FKS), qui vise à mettre un terme au travail non déclaré et à l'emploi illégal. Entre autres choses, l'inscription correcte des salariés à la sécurité sociale et le respect du salaire minimum ont été examinés de près. rapports nh24.

Les contrôles sont particulièrement importants dans le secteur de la construction, où le salaire minimum est actuellement de 12,82 euros brut de l'heure. Les enquêteurs ont interrogé au total 268 travailleurs provenant de 59 entreprises. Dans certains cas, des manipulations et des violations sont apparues lors des examens. Par exemple, à Neuhof et Fulda, six hommes – dont un Serbe et plusieurs Macédoniens – ont dû être temporairement arrêtés pour séjour illégal.

Violations et enquêtes

Mais les enquêteurs ne se font pas seulement un nom en matière d'entrées et de séjours illégaux. Un Ukrainien de 53 ans sans permis de séjour valide a été arrêté à Butzbach. En outre, 17 installateurs slovaques de Butzbach ont déclaré qu'ils exerçaient une activité indépendante. Les douanes en doutent et ont annoncé une enquête plus approfondie. Des soupçons de non-paiement du salaire minimum ont été identifiés dans cinq cas et deux travailleurs n'étaient pas inscrits à la sécurité sociale.

À la fin de la journée de contrôle, 13 infractions administratives et 10 procédures pénales ont été engagées, ce qui montre à quel point les douanes prennent cette affaire au sérieux. Une comparaison des données avec la masse salariale et la comptabilité financière des entreprises concernées est également prévue afin de découvrir d'autres abus. L'année dernière, le bureau principal des douanes de Giessen a constaté un préjudice de plus de 18 millions d'euros pour les fonds sociaux et fiscaux, ce qui souligne l'urgence de ces mesures.

Le salaire minimum à l’honneur

Une préoccupation centrale des douaniers est le respect du salaire minimum. Depuis le 1er janvier 2025, le salaire minimum légal général est de 12,82 euros brut de l'heure. Les salariés doivent avoir droit à ce salaire et tout accord inférieur à ce montant est invalide. Le bureau de douane principal effectue des contrôles non seulement dans le secteur de la construction, mais également dans d'autres secteurs comme le commerce de détail, la restauration et même les soins, afin de garantir que toutes les exigences légales sont respectées. rapports douaniers.

La priorité absolue est de rendre les conditions de concurrence équitables et d’empêcher le dumping salarial. La protection des droits des salariés devrait également être améliorée. Grâce à des contrôles réguliers, le FKS veille à ce qu'aucun accord frauduleux au détriment des cotisations sociales ne soit conclu, ce qui pourrait avoir d'autres conséquences juridiques. je l'ai ici souligne à juste titre que le travail illégal et le dumping salarial ont de graves conséquences sur le marché du travail.

D'autres contrôles approfondis sont attendus en Hesse dans les semaines à venir. Les autorités s'appuient sur des échanges intensifs avec d'autres institutions pour lutter durablement contre le travail non déclaré et le manque de déclaration en matière de sécurité sociale et pour protéger les droits des salariés. La douane a donc encore du pain sur la planche !